Votre cher serviteur a été convié hier soir à la présentation de la nouvelle collection Adidas Originals, qui se tenait dans un endroit assez inhabituel pour ce genre d’évènement : le Point Ephémère. Un lieu emblématique de la culture urbaine donc pas inadapté finalement. Surtout qu’Adidas avait soigné aux petits oignons les journalistes, blogueurs et autres invités, notamment le footeux lillois Adil Rami.
Gaufres à volonté (au nutella, sirop d’érable, etc…), puis mini-burgers accompagnés de cornets de frites, sans oublier un Mojito by Bacardi offert par la maison. Une tactique de corruption carrément efficace pour le goinfre gourmand que je suis. Diverses animations accompagnait ce mini-buffet : un DJ qui mixait des bons sons hip-hop (« I really mean it » des Diplomats, pas mieux pour me mettre bien), des danseurs assez doués, un beatmaker, des marionnettistes et… un circuit électrique ! Enfin, pas vraiment des voitures, mais des sneakers à propulsion. Classe. Esprit de compétition oblige, je me suis senti obligé de corriger l’ami Mourad de Street-Rules sur le circuit. Faut pas me tester sur ce genre de game ;)
Concernant la collection à proprement parler, bien elle est plutôt sympa. Quelques baskets hi-top valent le détour, tandis que plusieurs vestes et tee-shirts m’ont tapé dans l’oeil, notamment un tee blanc avec la silhouette de Manhattan… Nice. La principale attraction cependant, c’était la présence de jeans 100% Adidas. Grosse nouveauté. Plusieurs modèles étaient présentés et la qualité semblait au rendez-vous. Il faudra étudier les coupes plus en détails, mais quelques éléments ingénieux ont contribué à cette bonne impression. Par exemple, des revers bleus ciel qui renforcent l’ourlet, destinés à protéger les sneakers des maniaques de la propreté. Fallait y penser.
Cut Killer a également enflammé l’audience, puis Beat Assaillant s’est ramené pour un showcase bien sympa fin de soirée. Une belle cerise sur le gâteau et encore une présentation réussie de la part d’Adidas. Il faut le noter, toutes les marques n’attachent pas autant d’importance à ce type d’évènements. Je dis pas ça seulement pour la bouffe, hein !
