Pas mécontente de découvrir Petite Meller en ouvrant ma boîte mail. Complètement méconnue à mes yeux, je craque complètement pour sa voix, angélique et fragile, reflétant le personnage que l’on compare à une Mia Farrow post-moderne, à l’allure de Brigitte Bardot. En lisant sa bio, ses influences m’interpellent, allant de Sébastien Tellier, Rita Hayworth, en passant pas Kant, Shakespeare, Goethe, et allant même jusqu’à Chantal Goya.
Et en me penchant un peu plus sur le personnage, je constate qu’elle en a quand même fait du chemin. En 2006, elle fonde le groupe Terry Poison avec lequel elle assure les premières parties de Depeche Mode, ou encore Wiz Khalifa, et participe aussi à Rock en Seine.
Petite entame ensuite son projet solo, qu’elle décrit comme du Nuvo-Jazzy pop. Son premier clip « NYC Time », sortit il y a quelques jours, est co-réalisé par A.T.Mann (qui s’occupe des clips de Tiger Love), et Napoleon Habeica (photographe de chez American Apparel). Mais la chanteuse chante aussi en français, et offre une version à écouter d’urgence du célèbre « Joe le Taxi » de Vanessa Paradis.