La consécration. Mardi 1er novembre, Kalash a rempli L’Olympia et a donné un show que peu d’artistes en France peuvent se targuer d’égaler. En même temps, cette soirée était, pour l’artiste comme pour son public, bien plus qu’un concert. À la demande de Yuma Productions, nous avons, caméra à la main, suivi l’artiste dans ce grand moment de gloire.
Six lettres rouges que beaucoup ne sont pas prêts d’oublier. En avril dernier, quand nous avions Kalash sur scène, à La Cigale à Paris, nous nous étions promis d’aller le voir quelques mois plus tard pour son premier Olympia. La claque que nous avions pris ce soir-là était sans précédent : le Martiniquais peut clairement se targuer d’avoir non-seulement l’un des shows les plus rodés du game, mais surtout un public hors-norme. Quelques jours plus tard, nous retrouvions l’interprète de « Bando » à Lyon pour lui poser quelques questions. Un éclairage sur l’homme, sur sa carrière et sur son approche de la musique qui finiront de nous convaincre que Kalash est un artiste à part dans le monde francophone. Nous n’avons pas dit au-dessus du lot, mais nous n’en sommes pas loin. Mardi 1er novembre, nous avons donc accompagné l’Antillais dans ce moment de gloire où près de 1800 personnes l’ont accompagné pendant cette célébration collective de plus de deux heures. Chaque morceau de Kalash – même les plus anciens – repris à à tue-tête par une salle comble où personne ne tenait en place. Bien plus qu’un concert, une communion. Reportage.
Vidéo réalisée par Guillaume Durand pour SURL et Yuma Productions.
