Même elle l’attendait débouler avec fureur, les tympans apeurés. Encore traumatisée par « Zoo », ma voisine risque de prendre très cher en entendant résonner « Binks » à travers les murs. La prod signée Therapy me laisse ici un peu plus de marbre, mais dès que Kaaris bouge les lèvres, la boite de Pandore s’ouvre.
Equipé avec son sweat Space Monkeys, le K double A renvoie le rap français dans le passé sans bouger de son bâtiment. « Même si je perce, y’aurait pas assez de cire pour faire mes couilles au Musée Grévin ».
La Machine va vibrer lors de son concert du 7 mai.