Le « réel » ne semblait pas assez intéressant pour Diego Gravinese. Il a préféré créer son propre support « l’hyperreal » : l’argentin associe astucieusement la photographie, la peinture à l’huile très réaliste et la peinture acrylique. Et cela donne quelque chose de vraiment frais et de bizarre à la fois.
C’est tellement bien fichu que si l’on regarde rapidement, on pourrait penser que ce sont des photographies. Mais ce sont bel et bien des peintures qui décrivent un quotidien « banal » à la base, fourmillant de petits détails.
Et si vous aimez, vous pouvez regarder aussi le taff de Robert Standish qui utilise les mêmes techniques mais dans des situations différentes.