Si les prix des vêtements OriginalFake ne me freinaient pas brusquement moi et le plafond de ma carte bleue, je serai capable de m’offrir quasiment toute la nouvelle collection pour l’hiver prochain. Loin de provoquer un sentiment d’overdose, les habituels motifs KAWS discrètement intégrés cassent avec panache la sobriété de pièces terriblement bien pensées. Le manteau matelassé noir est une pure tuerie, les écharpes grises/noires ou bleues/noires démontent, les chemises à carreaux bucherons optent pour des tons sombres très urbains. Je ne vous parle même pas de la doudoune bleue marine.
Un quasi sans-faute, encore une fois, à tel point que même le coussin me fait kiffer.
Le plus dur reste de les obtenir depuis la France et de manger des pâtes sans sauce pendant un mois après l’achat.